Le Pardon de l'Aube
Sous le voile du ciel, à l’aube éternelle,
Un murmure léger traverse les champs,
Le pardon se lève, doux comme un chant,
Réchauffant les cœurs là où le froid s’installe.
Les ombres de la nuit, effacées par la brise,
La nature pardonne, en silence, en sourire,
Chaque arbre incline sa tête sous la brume,
Et le loup, totem sacré, veille sans bruit.
Les pas de l’homme, marqués par ses erreurs,
Trouvent leur écho dans la terre apaisée,
Car dans le pardon, il n’est plus de peur,
Seulement la paix, dans l’éclat retrouvé.
Sous les étoiles mourantes, l’âme s’ouvre enfin,
Aux rêves anciens qui renaissent au matin,
Et dans ce cycle infini, où tout s'unit,
Le pardon est le pont vers l’infini.